Ciryl Gane, combattant MMA : « Il y a de vrais débouchés dans notre sport»


Acteur incontournable du MMA mondial, Ciryl Gane a remporté son dernier combat en décembre dans la douleur. Dans L'Hebdo édition Hexagone, le « Bon Gamin » nous partage son attachement à la Guadeloupe, son amour du sport, et sa vision du MMA.
Quels rapports entretenez-vous avec la Guadeloupe ?
Mon père est né et a grandi à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe. Il est ensuite venu en France hexagonale pour son service militaire. J’ai de vraies attaches avec la Guadeloupe, car j’ai une partie de ma famille qui y vit. Malheureusement mes obligations sportives font que je n’y viens pas assez souvent. Avant ma venue pour l’inauguration du stade Marius Trésor, mon dernier séjour était en fin d’année 2019.
Vous avez récemment participé au match avec le Variétés Club de France, pour l’inauguration du stade Marius Trésor le 18 janvier dernier, comment s’est faite la mise en relation avec le VCF ?
La connexion avec le Variétés Club de France s’est faîte lors du match des héros (match caritatif opposant une équipe de l’Unicef à une sélection des légendes de l’Olympique de Marseille) à Marseille en 2021. J’ai rencontré Jacques Vendroux et son fils. Ils ont vu que j’aimais le football, nous avons développé une bonne affinité, sommes restés en contact et depuis, je joue des rencontres avec eux.
Etes-vous fan de football ?
J’aime beaucoup le football, sans être fanatique (rires). Je suis né en Vendée, j’habitais à trente minutes du centre-ville de Nantes, donc plus jeune, je supportais le FC Nantes.
J’ai vu mon premier match à la Beaujoire en accompagnant un groupe de personnes que mon père conduisait au stade.
Aujourd’hui je réside en région parisienne, je regarde beaucoup plus le Paris Saint-Germain. J’ai joué au football de 4 à 14 ans. J’ai raté le coche quand il y a eu des détections dans les catégories jeunes, le côté professionnel m’a un peu effrayé, je voulais vraiment jouer pour le plaisir.
Ensuite j’ai joué au basket, j’ai eu des possibilités d’aller dans des centres de formation, comme pour le football, j’ai préféré jouer pour la passion, sans pression.
Pour lire cette interview, télécharger gratuitement L'Hebdo France-Antilles France-Guyane, édition Hexagone du 31 janvier
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• ©️ DR - MMA Factory
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