BASSE-TERRE
Par Yvor J. LAPINARD
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Reconnues d’intérêt communautaire, certaines structures requièrent des entretiens permanents et spécifiques. Sur proposition du maire de Basse-Terre, le stade devrait porter le nom de Marie-José Pérec. • DR
En se penchant sur le fonctionnement, plutôt aléatoire, des structures intercommunales installées sur le territoire de la ville, le maire, André Atallah, a prôné la création d’un comité de pilotage afin de développer des synergies organisationnelles et financières. Le président de la communauté d’agglo ne s’y oppose pas ; mais tient à préciser que « tout n’est pas du ressort de la CAGSC ».
En tant que maire de Basse-Terre, André Atallah ne
s’était pas privé, dans nos colonnes, de pointer du doigt les
différentes problématiques constatées dans le fonctionnement
opérationnel des équipements du complexe sportif de Basse-Terre
(piscine, stade, hall des sports) qui, à son avis, ne peut jouer en
l’état son rôle de vitrine sportive, à la veille d’une année qui
sera consacrée « Grande cause nationale sera la promotion de
l’activité physique et sportive ». Il n’a pas manqué
d’interpeller le président du conseil régional, le président de la
communauté d’agglomération Grand Sud Caraïbe (CAGSC), de même que
le délégué régional de la DRAJES (Délégation régionale académique à
la jeunesse, à l’engagement et aux sports), chacun dans leurs
responsabilités, à se pencher sur la situation. Ainsi prône-t-il la
création d’un comité de pilotage associant les utilisateurs des
structures concernées, qui permettrait de développer les synergies
organisationnelles et financières dans l’intérêt de la communauté
et de l’attractivité sportive de l’agglomération…
