La tradition du Mas a riban revit au Mémorial ACTe

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Textes et Photos Michèle SILMON KANCEL

Le passage du relais entre les ainés et la génération suivante, qui le passera ensuite à la suivante. • MSK

Lundi après-midi, en partenariat avec Mas a Wobè, 50/50 et Patornay, le MACTe faisait renaitre un patrimoine immatériel : le Mas a riban. De l’Inde à L’Asie, de l’Afrique à l’Europe, le faire ensemble est la principale symbolique de cette rencontre qui retrace l’histoire du peuple de Guadeloupe.

1- Le passage du relais entre les ainés et la génération suivante, qui le passera ensuite à la suivante.

2- Les jeunes de l’école de danse Patoray, qui, dans une magnifique chorégraphie, ont symbolisé la libération de la Guadeloupe du joug de l’esclavage.

3- Une rencontre sur le thème de la solidarité, du lyannaj des différentes populations arrivées sur cette terre de Guadeloupe dont ici la communauté indienne.

4- La cérémonie du ruban débute avec les ainés.

5- Même si nous ne sommes pas de la même origine ni du même territoire, nous sommes tous des « Moun vini », dira Raymonde Torin, dans le rôle de maitresse de cérémonie.

Les jeunes de l’école de danse Patoray, qui dans une magnifique chorégraphie, ont symbolisé la libération de la Guadeloupe du joug de l’esclavage.
• MSK

Une rencontre sur le thème de la solidarité, du lyannaj des différentes populations arrivées sur cette terre de Guadeloupe dont ici la communauté indienne.
• MSK

La cérémonie du ruban débute avec les ainés.
• MSK

Même si nous ne sommes pas de la même origine ni du même territoire, nous sommes tous des « Moun vini », dira Raymonde Torin, dans le rôle de maitresse de cérémonie.
• MSK