

INTERVIEW. C'est ce soir que débute le challenge féminin, Monique Ribeaut à Bas du Fort, au Gosier. Demain, les hommes rentrent en piste sur le challenge Tristan Chauvel qui verra s'aligner une équipe de Sainte-Lucie et une autre du Canada. Le président de ligue et son équipe sont impatients que la fête du rugby ne commencent.
Vous entamez votre deuxième mandat. Quel bilan
tirez-vous de votre première mandature ?
Ce n'est pas uniquement mon bilan. C'est aussi
grâce à la Fédération française, aux clubs, aux cadres techniques,
aux bénévoles qu'on a eu une évolution. On est passé en trois ans
de 1 100 licenciés à presque 1 500 et on est passé de 1 000
scolaires à plus de 2 000 scolaires. On a toujours 10 clubs, un 11e
devrait voir le jour la saison prochaine à Pointe-Noire. Ils vont
repartir avec des catégories jeunes pour commencer.
Comment avez-vous réussi justement à faire
croître ce nombre de licenciés, attirer plus de monde ?
C'est avec l'appui des cadres techniques, du
conseiller technique et des clubs sans oublier les bénévoles, que
nous y sommes parvenus. En faisant passer des diplômes d'état pour
qu'ils puissent encadrer les jeunes. C'est aussi grâce à la
communication. On communique beaucoup plus qu'avant et les
résultats de nos clubs en tournoi Antilles-Guyane, que ce soit en
U14, en U16, en U19, en filles et en senior pèsent aussi.
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