


Depuis le 31 mars, la phase d'examen des candidatures est ouverte sur la plateforme Mon master. Les établissements d'enseignement supérieur étudient actuellement les dossiers des étudiants titulaires d'un Bac+3 souhaitant poursuivre en master. Mais contrairement à ce que l'on pourrait croire, la procédure est loin d'être simple.
Lancée en 2023 par le gouvernement sur le même
modèle de Parcoursup, la plateforme centralise désormais toutes les
demandes d'entrée en master à l'université. En 2024, seuls 60 % des
candidats ont reçu une réponse définitive positive. Que deviennent
les 40 % restants, laissés sans solution ?
Le 2 juin, les candidats découvriront les
résultats de la première phase. Plusieurs cas de figure sont
possibles : certains recevront des propositions d'admission,
d'autres apparaîtront uniquement en liste d'attente, avec un
classement qui évoluera au fil du temps, et enfin certains auront
uniquement des refus. Pour ces derniers, l'espoir repose sur la
phase complémentaire, prévue du 17 juin au 17 juillet, qui leur
permettra de déposer de nouveaux vœux dans les formations où des
places sont encore disponibles.
Une plateforme qui provoque des
angoisses
Ce fonctionnement, bien que pensé pour fluidifier
le processus, soulève des interrogations. Beaucoup d'étudiants
risquent de se retrouver sans solution, faute d'informations ou à
cause de décisions prises dans la précipitation. C'est le cas de
Clara...
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