The content originally appeared on: Guyaweb Il habitait en haut d’une colline à Rémire-Montjoly. J’allais lui dire bonjour en voiture. Je me souviens de son rire : « Hé, hé ». Sa femme discrète avait le sourire aussi. Puis un jour, je ne suis plus allé, à partir de notre départ avec perte et fracas de La Semaine Guyanaise. Contrairement à nous, André Paradis avait décidé de rester : « j’ai besoin d’écrire », je ne sais plus...