Texes et photos : Stéphanie TOLLET
Une belle façon de s'approprier le territoire. © S.T.
Une belle façon de s'approprier le territoire. © S.T.
Vivre libre ou mourir. © S.T.
Vivre libre ou mourir. © S.T.
La répression coloniale est sanglante. © S.T.
La répression coloniale est sanglante. © S.T.
Les musiciens ont assuré. © S.T.
Les musiciens ont assuré. © S.T.
Le final a été majestueux. © S.T
Le final a été majestueux. © S.T
Le final a été majestueux. © S.T
De nombreux obstacles restent à surmonter « zonbi baré mwen ». © S.T.
De nombreux obstacles restent à surmonter « zonbi baré mwen ». © S.T.
De nombreux obstacles restent à surmonter « zonbi baré mwen ». © S.T.
La liberté durement acquise n'est trop souvent que de façade. © S.T.
La liberté durement acquise n'est trop souvent que de façade. © S.T.
La liberté durement acquise n'est trop souvent que de façade. © S.T.
SAINTE-ANNE. Dans le cadre des festivités de la commémoration de l'abolition de l'esclavage, la Carl a convié le public à un grand spectacle sur la place de la mairie, Kalousera, portée par l'association Sakitaw. L'œuvre chorégraphique imaginée par Mario Coco (chorégraphe) et Nelly Cériac (auteure) retraçait l'histoire de l'esclavage et ses héritages à travers la danse, le corps et l'émotion.Textes et photos : Stéphanie TOLLET
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