Visage d'ange, silhouette athlétique, regard intense, Malia du haut de ses 26 ans n'a qu'une idée en tête : danser. Revenue sur sa terre natale, elle prend goût à la transmission et évolue au sein de la compagnie Djok.
Retenez bien son nom : Malia Mkolajk. Originaire
de Capesterre Belle-Eau, la jeune femme tire sa rigueur et sa
discipline de ses racines polonaises et sa personnalité solaire de
ses origines guadeloupéennes. Enfant du ka et de la danse indienne,
« la plus petite des grandes », aimait-on l'appeler,
intègre dès ses cinq ans des compagnies de danse
préprofessionnelles qui lui laisseront le goût de l'excellence. À
14 ans, la samba, à 16 ans elle rejoint la grande Léna Blou dans
l'apprentissage du jazz contemporain qui l'amène à remporter la
médaille d'or au concours national de danse (CND) régional puis
l'argent au national en catégorie 4 « autre styles » dans
une création chorégraphique originale baptisée Syncrétisme sous la
direction de...