L’Urban Ka pour séduire les jeunes

La musique de Voukoum sait faire danser les gens. © S.BOSC

Le groupe Donzèl, une belle découverte pour bon nombre de spectateurs. Sur un rythme de mas a po, les filles savent associer des instruments à vents, tel que le saxophone. © S.B

Le public n’a cessé de gonfler depuis l’après-midi. © S.B

L’indétrônable Voukoum a fait vibrer le public avec son gwo siwo venu de l’autre côté de l’île.  © S.BOSC

Méthi’s a chanté du zouk sur une rythmique de mas à po avec le groupe Nou Mas. © S.BOSC

Misié Sadik et Nou Mas, une belle harmonie. © S.BOSC

Les déesses de la mer de Donzèl étaient magnifiques. En prime, elles jouent de la bonne musique. © S.B

Venu de Basse-Terre, le groupe a joué la musique du sud Basse-Terre. © S.BOSC

Tambours chant, basses et contrebasses avec Donzèl. © S.B

Une ambiance bien particulière avec Voukoum. © S.B

Les éléments de la mer a inspiré les filles de Donzèl pour leur tenues. © S.B

Grâce, élégance et beauté, c’est bien Donzèl. © S.B

Le public de Voukoum était bien présent sur la plage du bourg. © S.BOSC

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La contrebasse et la basse sont les bases de la musique de mas. © S.BOSC

Les musiques de Nou Mas sont de vrais passionnés. Ils sont membres de plusieurs groupes de carnaval et de gwoka. © S.BOSC

Les choristes de Nou Mas savent passer d’une musique à l’autre. © S.BOSC

Mizisien a Nou Mas ka jwé mizik kon kan’n. © S.BOSC

Misié Sadik sur la scène du festival de gwoka, c’est historique. © S.BOSC