Par Dragan JASMIN [email protected]

Alors que les marchés du transport doivent être renouvelés en janvier 2026, la FNTV (Fédération nationale des transports de voyageurs) et les syndicats s'affrontent sur la méthode de négociation. Résultat : un dialogue rompu et un secteur plongé dans l'incertitude.
À quelques mois du renouvellement des marchés du
transport de voyageurs, prévu en janvier 2026, la Guadeloupe
s'enfonce dans un bras de fer silencieux entre la FNTV Guadeloupe
(Fédération nationale des transports de voyageurs) et les
organisations syndicales du secteur. Si les deux camps affirment
vouloir avancer, la négociation tourne à l'affrontement
méthodologique. Et, pour l'instant, personne ne cède. Installée sur
le territoire depuis le mois d'août dernier, la FNTV, présidée par
Charlery Fléreau, estime qu'il faut d'abord sécuriser trois points
: le transfert du personnel, la reprise du personnel et les
salaires. « Après, on ouvrira progressivement »,
assure-t-il. Une condition ferme : pas de discussion globale tant
que ces trois chapitres ne sont pas signés.
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