Par Stéphanie VÉLIN s.velin@agmedias.fr
Le congrès du Syndicat national unitaire des instituteurs (SNUipp-FSU) s'est tenu les 15 et 16 mai au Gosier. Moyens, diagnostics et pistes d'action étaient au cœur des débats.
Réunis à l'hôtel Salako au Gosier vendredi et
samedi derniers, les membres du congrès d'enseignants SNUipp ont
réélu Tony Pioche en tant que secrétaire général.
« Aujourd'hui, les enseignants ne sont plus aussi sereins
qu'auparavant », assure-t-il. Les intervenants des ateliers et
tables rondes ont donc pointé les tensions éducatives : la violence
à l'école, la reconnaissance de l'académie de Guadeloupe en REP ou
Réseau d'éducation prioritaire, mais aussi la venue d'une
délégation ministérielle évoquée au cours des mobilisations de ces
derniers mois contre les suppressions de postes et de classes.
Un nouveau mandat : garder le cap
Ce congrès a servi de caisse de résonance aux
revendications accumulées depuis plusieurs mois, tout...
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