

Par Stéphanie VÉLIN
s.velin@agmedias.fr
Après l'infanticide survenu à Port-Louis la semaine dernière, de nombreuses questions se posent et la problématique de la violence dans l'éducation refait débat.
Vendredi 21 février, le beau-père et la mère de
Maléo R. ont été entendus par le juge des libertés et de la
détention (JLD). Maître Sandra Adonis, l'avocate du beau-père
insiste notamment sur l'éducation du petit garçon de six ans décédé
sous les coups de son beau-père. C'est une « éducation à
l'ancienne » qui est mise en cause, marquante physiquement
autant que psychologiquement, une violence si courante qu'elle a
été banalisée. À la Maison de la parentalité à Morne-à-l'Eau, on
tente avec les parents de dénormaliser la violence, repérer les
marqueurs de violence intrafamiliale, apprendre à parler et écouter
en tant qu'adulte et en tant qu'enfant.
Les punitions corporelles banalisées ?
Devoir rester à genoux un certain temps, recevoir
une pluie de coups de ceinture, chaussure ou de liane de tamarinier
sont parmi les quelques...
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