Par Dragan JASMIN [email protected]

Esthéticienne, cheffe d'entreprise et socio-esthéticienne diplômée, Katia Biabiany défend une vision de l'esthétique profondément humaine, où le soin du corps devient un levier de mieux-être et de dignité. Avec l'ouverture de son second institut, Just Beauty Harmony aux Abymes, elle affirme un projet qui conjugue exigence professionnelle, engagement social et ancrage territorial.
À travers Just Beauty by K'tia, installé à
Pointe-Noire, Katia Biabiany n'a jamais conçu l'esthétique comme un
simple travail de surface. « Pour moi, une esthéticienne,
c'est avant tout quelqu'un d'empathique, de bienveillant, de
doux », affirme-t-elle. Une vision profondément humaine qui
l'a conduite à bâtir, au fil des années, un parcours singulier, à
la croisée du soin, de l'accompagnement et de l'entrepreneuriat.
Après près de dix années passées au sein d'une grande enseigne,
elle ressent un décalage croissant entre sa conception du métier et
la réalité du terrain. « Je ne me retrouvais plus.
L'esthétique devenait trop mécanique, trop orientée vers le
chiffre. Or sans humanité, ce métier perd son sens »,
confie-t-elle. C'est ce constat qui la pousse à créer Just Beauty
by K'Tia, un institut pensé comme un espace de confiance, où chaque
cliente est accueillie dans sa globalité.
L'épreuve du Covid, un temps de
suspension
Dès l'ouverture, le lieu trouve son public. Katia
Biabiany y défend une approche exigeante, articulée autour de trois
piliers : la qualité du soin, le service et l'attitude
professionnelle. « Quand...
Related News
Gaza: plus de 1.000 personnes décédées en attendant une évacuation médicale depuis ju...
Dermatose: la mobilisation se poursuit au lendemain de la visite de Genevard
En Iran, les motardes à l'assaut du bitume malgré les restrictions