


Le directeur général de GBH, Stéphane Hayot, s'est défendu de toute responsabilité dans la vie chère en Outre-mer - et a appelé de ses vœux un soutien de l'État pour compenser les « frais d'approche » - lors d'une séance de questions-réponses parfois tendue, ce mercredi 2 avril, à la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale.
Stéphane Hayot l'a répété inlassablement, hier,
devant l'Assemblée nationale, sans se départir de son calme et de
la déférence due aux élus de la représentation nationale :
« Nous ne sommes pas en oligopole ou en monopole nulle part !
Notre métier est difficile, si nous n'avions pas constamment à
l'esprit l'intérêt de nos clients, nous nous casserions la figure
comme d'innombrables acteurs de la grande distribution avant
nous... ».
Face aux députés de la commission des affaires
économiques, réunis ce mercredi 2 avril afin de faire le point sur
« la situation et les perspectives d'activités de GBH en
France », Stéphane Hayot était sur une ligne de crête. Parfois
pressé de questions gênantes...
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