

Tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre
Par Richard GARNIER r.garnier@agmedias.fr

Pour des violences conjugales, un prévenu âgé de 25 ans a été condamné à un an d'emprisonnement à domicile sous surveillance électronique. Malgré le fait que sa victime a menti et que son avocat a plaidé la relaxe.
«J'ai menti. Je veux retirer ma plainte. Mon
compagnon est victime d'un complot familial. Je tiens d'ailleurs à
m'éloigner de ma mère, qui lui veut du mal depuis toujours. »
Telles est le revirement de sa compagne à la barre. D'ailleurs, ce
dossier ouvert pour violences habituelles par conjoint envers
Anaïck Rilcy repose également sur les témoignages de sa compagne et
de cette belle-mère. Leur véracité a pris du plomb dans l'aile.
Pourtant, le procureur poursuit dans la voie de l'accusation : «
Même s'il nie à l'audience,...
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